La relance économique en Amérique latine requiert l'égalité des genres
« Les conséquences sociales, économiques et sociales de la pandémie ont le plus durement frappé les travailleuses. Ainsi, la reprise économique après la pandémie exige la participation active des femmes, les syndicats faisant pression pour une forte perspective de genre dans les efforts de relèvement», a déclaré Fabiana Santos, présidente du Comité régional des femmes de l’IBB et responsable de FENTICOMMC en République dominicaine.
Pendant ce temps, dans le deuxième épisode “Conversations IBB,” Marta Pujadas, dirigeante de l’UOCRA, a discuté avec le Secrétaire général de l’IBB, Ambet Yuson, de leurs efforts fructueux pour persuader le gouvernement argentin de ratifier la Convention 190 de l’OIT et de la manière dont elle contribuera à éradiquer la violence sexiste.
« La violence sexiste est un problème social profondément enraciné dans notre société qu’il faut éliminer. En l’éradiquant, les femmes pourront davantage participer aux processus décisionnels et assurer un avenir meilleur où l’autonomisation des femmes est assurée », a déclaré Marta Pujadas.
Sous les deux thèmes de l’IBB « Un avenir égal et meilleur pour tous » et « Pas de rétablissement sans égalité des sexes », des syndicalistes de République dominicaine, Jamaïque, Curaçao, Guatemala, Mexique, Panama, Costa Rica, Colombie, Équateur, Pérou, Argentine et du Brésil ont lancé des campagnes, des messages vidéos et des activités en ligne et en personne pour célébrer le mois des femmes. Ils se sont unis pour exiger un avenir meilleur et égal entre les sexes où l’égalité est un élément central de la reprise économique.