(Photo: mundomaritino.cl)
La Confédération des Travailleurs Sylvicoles (CTF) du Chili, la Fédération des Travailleurs de MASISA (FETRAMAS) et la Fédération Nationale des Syndicats Industriels d'ARAUCO (FENASID) ont déclaré qu'elles ont pu assurer le transport des travailleurs en toute sécurité, réduire les espaces communs, améliorer les mesures d'hygiène au travail et garantir la non-réduction des salaires, même pour ceux qui ont bénéficié d'options de télétravail, pendant le confinement de COVID-19.
Les affiliés de l'IBB ont déclaré qu'ils ont également suivi de près la mise en œuvre des protocoles de santé et de sécurité au travail (SST) et ont assuré de meilleures mesures de biosécurité, en particulier avec la poursuite des activités de l'industrie sylvicole.
Dans tout le Chili, les usines de production, les plantations sylvicoles et les installations établies fonctionnent sur une base limitée, les fonctions de planification et d'administration étant placées sous des dispositions de télétravail. Depuis le début du mois de mai, l'industrie a entamé le processus de réactivation progressive.
Cependant, malgré les mesures de santé et de sécurité promues par les syndicats, un travailleur de l'industrie a été testé positif au COVID-19 à Mapa. Le travailleur a déjà reçu des soins médicaux, a été mis en quarantaine et est sous observation. L'entreprise et la communauté ont pris des mesures de suivi pour évaluer les infections possibles par la recherche des contacts.
Au 13 mai, le Chili compte 31 721 cas de COVID-19 et 335 décès.